J’ai fini par me convaincre qu’au Cameroun, du dictateur “opulent” et avare qu’est Paul Biya, chaque journaliste ayant les yeux plus grands que son ventre, rêve d’être proche.
Mais chacun de ces “historiens du présent” aveuglés par le gain facile, devrait avoir la lucidité nécessaire pour comprendre que grâce au Professeur Maurice Kamto, le président élu par ailleurs, tous les Camerounais ont appris de leurs 40 ans de misères et que, à pas de géant, la fin du dictateur incorrigible approche.
Le Cameroun, nul ne peut en douter, va de Charybde en Scylla. Seuls semblent ne pas s’en apercevoir les “journalistes” camerounais les plus cupides.
Sauf qu’à force de défendre l’indéfendable et nombre de causes perdues, ils sont forcément devenus la risée du peuple. En tous points de vue, ils sont stupides.
Ils se servent de leurs plumes et de leurs micros comme se servirait le cochon de la confiture.
Le faisant, ils se font hara-kiri. Agissant ainsi, ils scient la branche sur laquelle ils sont assis, se foutent dans le même temps le doigt dans l’œil et s’acheminent inexorablement vers une imminente…
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