#Autres pays : En Algérie, chaque année au moment du bac, le régime choisi la solution de la facilité. Dans beaucoup d’autres pays, quand s’annoncent des troubles, c’est aussi la voie privilégiée par les gouvernements pour couper l’herbe sous le pied des manifestants.
Dimanche 13 septembre, 637.000 lycéens en classe de terminale en Algérie sont convoqués pour subir les épreuves du bac, fameux sésame pour accéder à l’université. Pour les autorités algériennes, l’importance de ce diplôme pousse souvent les candidats à s’adonner à la triche comme dans le fameux film «les sous-doués passent le bac». Sauf qu’ici, l’usage généralisé de l’Internet est un facteur favorisant la fraude. Il suffit d’un téléphone, d’un complice à l’extérieur pour pouvoir lui envoyer les épreuves avec un Smartphone et attendre patiemment les réponses et le tour est joué.
1,7 milliard d’euros perdus
De même, du fait des conditions d’organisation douteuses avec des méthodes surannées où les académies régionales dépendent entièrement d’Alger, certains parviennent même à avoir accès aux épreuves…
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