Depuis sa cellule de la prison de Yaoundé, où il purge une peine de deux ans de prison, l’opposant Mamadou Mota revient sur les divergences au sein de son parti, le MRC de Maurice Kamto.
Condamné le 9 septembre à deux ans de prison ferme pour son implication dans la mutinerie du 22 juillet à la prison centrale de Kondengui, où il est écroué depuis le mois de juin dernier, le premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) de Maurice Kamto suit à la loupe l’évolution politique du pays, en particulier au sein de sa formation, où les divergences de points de vue s’étalent sur la place publique.
À quelques jours du premier anniversaire de son arrestation, survenue le 1er juin 2019, Mamadou Mota a accepté de répondre à nos questions, depuis sa cellule. Malgré la détention, son engagement s’est raffermi, assure-t-il. Au sein de son parti, où des voix s’élèvent pour réclamer un changement de stratégie et la fin de l’opération « Non au hold up…
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